Exit la chemise à carreaux, la bêche et le castor, cette V7 Rough n’est assurément pas un vrai Scrambler, mais son look est une vraie réussite. L’accastillage est superbe, les garde-boue en alu brossé sont magnifiques, les caches-latéraux en alu peint sont quand même plus qualitatifs que ceux de la version Stone, et la petite barre transversale du guidon fait son effet. Et puis, il y a ces jantes magnifiques, noires et logotées « Moto Guzzi » renforçant l’aspect brut de fonderie de cette moto, chaussées de Pirelli MT60 qui offrent un bien meilleur grip que leurs homologues Demon, en plus du look.
Bien plus que pour aller à l’Agence du centre, cette moto est une véritable invitation à la balade enjouée, voire aux voyages. Il est simplement dommage que Moto Guzzi n’ait pas poussé le bouchon un peu plus loin en équipant cette machine d’amortisseurs plus performants pour l’arrière, et d’un espace de rangement sous la selle, voire d’un cache-latéral droit sur charnières pour accéder rapidement à son contenu. J’aurais aussi aimé un passage du câblage plus discret pour le feu arrière, mais dans l’ensemble la finition est très soignée.
En dehors de cet amortissement perfectible, cette moto offre un excellent comportement, le châssis est rigide et ne donne jamais l’impression d’être à la limite, même avec un pilotage dynamique (j’ai bien précisé dynamique pas sportif). Conclusion : Son look exploite toutes les ficelles du genre, mais le résultat est très cohérent, les Triumph et autres Yamaha 950 ne sont pas plus Scrambler que ta grand-mère est pilote de Grass-Track.Rating : 5/5
Respond to Baltimore
Je roule en Guzzi depuis 1992 et maintenant depuis décembre 2017 avec une V 7 III spécial bleu, elle est extraordinaire et consommant peu à 80 je fais du 3.2-3.3 L aux 100 et sur autoroute à 130-140 compteur je fais du 4.4-4.5 aux 100. Moteur coupleux mais au dessus des 2000 tours. Moto confortable pour moi en solo. Il est rare que je loupe le point mort et les vitesses passe sans bruit ni glong.Rating : 5/5
Respond to johan
L’accastillage est superbe, les garde-boue en alu brossé sont magnifiques, les caches-latéraux en alu peint sont quand même plus qualitatifs que ceux de la version Stone, et la petite barre transversale du guidon fait son effet.
Et puis, il y a ces jantes magnifiques, noires et logotées « Moto Guzzi » renforçant l’aspect brut de fonderie de cette moto, chaussées de Pirelli MT60 qui offrent un bien meilleur grip que leurs homologues Demon, en plus du look.
Bien plus que pour aller à l’Agence du centre, cette moto est une véritable invitation à la balade enjouée, voire aux voyages.
Il est simplement dommage que Moto Guzzi n’ait pas poussé le bouchon un peu plus loin en équipant cette machine d’amortisseurs plus performants pour l’arrière, et d’un espace de rangement sous la selle, voire d’un cache-latéral droit sur charnières pour accéder rapidement à son contenu.
J’aurais aussi aimé un passage du câblage plus discret pour le feu arrière, mais dans l’ensemble la finition est très soignée.
En dehors de cet amortissement perfectible, cette moto offre un excellent comportement, le châssis est rigide et ne donne jamais l’impression d’être à la limite, même avec un pilotage dynamique (j’ai bien précisé dynamique pas sportif).
Conclusion : Son look exploite toutes les ficelles du genre, mais le résultat est très cohérent, les Triumph et autres Yamaha 950 ne sont pas plus Scrambler que ta grand-mère est pilote de Grass-Track. Rating : 5/5 Respond to Baltimore